i am a...

gwahag yeonyege jigwoon

je-m'en-foutiste , emmerdeur , idiot , débile , gamin , paresseux , pertubateur , ayant du répondant, impulsif... Un condensé des pires défauts le petit Jessy. Capable de tenir tête à un adulte quand c'est dans son intérêt. Pour autant, il n'est pas asocial loin de là! il aime juste se faire remarquer et jouer au clown. Attention toutefois de ne pas lui faire un coup dans le dos. Ce gosse est rancunier.

Melbourne, la riche Australie, le melting pot entre aborigènes et australiens, les embruns du port. Melbourne, la ville natale et une grande partie de l’enfance de notre petit Jessy. Melbourne la culturelle, la grande artiste. Bref, l’Australie dans toute sa splendeur. Jessy connait tellement bien cette ville qu’il pourrait vous en faire un exposé très complet, du moins s’il bossait en cours. Mais ce n’est pas ça qui vous intéresse je me trompe ?

Jessy a donc vécu une grande partie de son enfance en Australie. Il vivait dans une petite maison chaleureuse avec sa mère très présente et son père, beaucoup moins. Ça n’empêchait pas que les deux hommes s’entendaient bien et que le père n’oubliait jamais les évènements importants, bien que son travail lui prenait quasiment tout son temps libre. En fait, son père était un scientifique spécialisé dans les pokémon et avait fini par rejoindre l’équipe du projet Paradise. Jessy aimait quand son père rentrait et lui racontait des histoires sur les pokémon. Evidemment, jusqu’à sa sélection, son père ne lui a jamais soufflé un mot de Paradise.

Comme son père n’était pas souvent à la maison et que sa mère, attentive à ses besoins, savait qu’il manquait un peu d’une présence masculine, elle l’incitait souvent à rendre visite à son grand-père. Et Jessy adorait son grand-père, ancien aborigène mais qui vivait encore en communion avec la forêt. Jessy n’était donc jamais réticent quand il fallait lui rendre visite. Jessy adorait apprendre des nouvelles choses sur la culture aborigène et particulièrement comment jouer du didgeridoo. Lorsqu’il n’était pas avec son grand-père, il enrichissait son savoir avec les livres.

Oui mais il fallait bien qu’un nuage viennent assombrir le beau tableau tout joyeux de la vie de Jessy. Et ce nuage, se fut la mort de son grand-père. Une mort bien stupide pour un ancien aborigène, quand Jessy y repense. Il était là le jour du drame. Il a vu son grand-père chuter de l’arbre auquel il était monté. Cette chute l’a énormément marqué et à développer chez lui, une immense peur du vide.

Après l’enterrement de ce valeureux homme, Jessy avait changé du tout au tout : il ne passait ses journées qu’à jouer du didgeridoo de son grand-père et ne voulait plus suivre les cours particuliers à la maison. Heureusement, pour son père particulièrement, le projet de l’île Paradise était terminé depuis deux ans , et il avait déjà recommandé son fils pour qu’il puisse entrer à l’université. Jessy devait absolument changer d’air et pour cela, il fallait qu’il quitte Melbourne.

Jessy n’était pas très emballé au départ. Mieux, il n’y croyait pas ! Il était persuadé que les pokémon n’étaient qu’une légende, qu’un mythe pour faire briller les yeux des enfants et développer leur imagination. Et lui n’était plus un enfant alors il n’y croyait plus. Jusqu’à ce que son père lui mette le formulaire sous le nez et lui offre son premier pokémon peu avant qu’il soit reçu à l’université.

Depuis, Jessy s’est acclimaté à cette nouvelle vie mais malheureusement l’envie d’apprendre en cours ne lui ai toujours pas revenu. Bien au contraire, il préfère largement amuser la galerie qu’autre chose. Même s’il apprécie prendre soin de ses pokémon qui le sortent de ses idées un peu sombre. Il n’est seulement qu’en première année, laissons-lui un peu le temps…

♦ Depuis la mort de son grand-père, Jessy a une peur incontrôlée du vide et suffoque dès qu’il trouve que c’est trop haut pour lui ♦ Il lui arrive de se mettre à l’écart, quand il a le mal du pays,  pour jouer du didgeridoo, instrument qu’il a évidemment amené sur l’île. ♦ Son pêché mignon ? Les tomates cerises. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, c’est comme ça qu’il a capturé un de ses pokémon actuels. ♦ Il parle couramment le coréen car sa mère lui parlait coréen et il prenait des cours en supplément. Il parle aussi l’anglais et sait quelques mots dans un dialecte aborigène. ♦ Il adore s’occuper de ses cheveux et dénicher de nouvelles couleurs pour sa tignasse. Toutes les semaines voire tous les 3 jours, il aura une couleur différente.